mardi 30 novembre 2010

Et la fête continue

Quand tout le monde avait vidé son assiette - et son verre - "on" a mis la sono, et j'ai préféré battre en retraite, aussi loin que possible des haut parleurs, car j'avais oublié d'apporter des boules pour mes oreilles.

De là j'ai enfin pu faire mon portrait de Gigitte en train de se trémousser sur le plancher.

Je n'ai pas arrêté de mitrailler, car je ne voulais rater personne et je ne voyais pas qui je photographias.

Du coup j'ai même Angel et Fred sur une photo. Ainsi que Yé-yé.


A la demande de Yé-Yé j'ajoute une photo de hpy et DD.

lundi 29 novembre 2010

Gigitte et les anonymes

Belle-sœur Gigitte avait choisi samedi dernier pour célébrer ses 50 ans! Elle avait loué une salle, invité 60 grandes personnes et une ribambelle de petits qui n'avaient pas autre choix que de suivre leurs parents, surtout peut-être pour ce qui concerne le plus jeune, à peine un mois, qui pouvait hurler autant qu'il voulait sans que cela change la donne.

Pour les non initiés, Gigitte est la personne qui n'a pas eu le temps de poser pour la photo et qui en sort sur la droite.

J'ai par contre eu le temps de discuter avec Angélique et Frédéric qui se prétendent des visiteurs assidus de mon blog. "Au moins une fois pas semaine."

Mais jamais vous ne m'avez fait de commentaire! Même pas un coucou!

Sachez, Angel et Fred, qu'il suffit de cliquer sur "X commentaires" en dessous du texte, d'écrire un mot ou deux dans la case et choisir l'option "anonyme" avant d'envoyer le tout. Pas besoin d'être connecté à Google ou ailleurs.

Alors? Croyez-vous que je ferai un reportage sur la fête, comme vous me l'avez proposé? Hein, Angel et Fred?

***

Voici les futurs anonymes!


dimanche 28 novembre 2010

De nuit

Vendredi soir DD et moi avons fait un petit tour à la tombée de la nuit. Je n'avais jamais vu le château d'eau de la colline en face de près, et à la fin de notre tour plus ou moins habituelle nous sommes montés par là.

Mais comment y accéder? De loin on le voit, mais de près c'est une autre paire de manches.

Nous avons laissé l'hôpital sur notre gauche et le nouveau centre de gérontologie sur notre droite avant de prendre la direction du camp des SDF de luxe*).

Des camping-cars et des caravanes y étaient stationnées, mais ce n'était pas la bonne adresse et nous en sommes donc ressortis pour le longer, et tout au bout d'une impasse nous avons trouvé le château d'eau derrière une clôture que nous n'avons pas franchie.

Malgré tout, je n'étais pas prête à tout pour ajouter une photo à ma collection.

***

*) les gens du voyage

samedi 27 novembre 2010

Neige

La neige est arrivée même en Seine-Maritime, mettant un peu plus de pagaille sur les routes que d'habitude.

J'étais moi-même sur la route en même temps que DD qui a pris la photo à l'est de Rouen dans l'après-midi, jeudi dernier, mais j'étais de l'autre coté du département. En bord de mer il n'y avait presque pas de neige, mais déjà à 30 km de la cote c'était plus blanc que blanc.

Si la neige est arrivée pour rester, l'hiver sera long.

vendredi 26 novembre 2010

Rajamailla

Pois hiipii valo
päivän aurinkoisen.
Yö musta saapuu.

jeudi 25 novembre 2010

Schmuggelwaren

Diesmal war es nicht Morgen früh aber viel später, dass ich zum Handelshafen fuhr. Der Tag was schon fast Nacht.

Ich hatte jemand zu sehen. Er sollte mir einige wichtige Dokumenten geben.

Ich sah nicht nur der Mann mit der Papieren, aber auch andere, die bei ein Frachtschiff etwas machten. Was könnte das sein?

Was suchten sie, Cigaretten, Alcohol oder andere Schmuggelwaren?

Oder arbeiteten sie nur?

Schnell, ein Foto, und dann weg.

mercredi 24 novembre 2010

Des idées que l'on se fait

Il n'y a pas très longtemps j'ai lu, dans la presse des petits commerçants, sans doute, que la fréquentation des salons de coiffure était en diminution constante.

Les dames dont on dit gentiment qu'elles sont d'un certain age vont encore chez le coiffeur pour une teinture, une mise en plis, bien que moins qu'avant, mais les plus jeunes délaissent de plus en plus les salons.

Pour ma part, je n'ai jamais vraiment apprécié mes visites chez le coiffeur. Souvent beaucoup d'attente malgré le rendez-vous pris. Et je n'aime pas non plus parler de ma vie avec des parfaits inconnus. (Ecrire, c'est différent.)

Alors mes cheveux sont comme ils sont. Une mise en plis sur ma tête serait comme un déguisement et pourtant il m'est déjà arrivé d'aller chez le coiffeur.

Je me rappelle un jour où je m'étais fait couper les cheveux pas loin de mon appartement parisien. Cela devait être à la fin des années 1970.

Un ami que j'ai vu peu de temps après m'a dit: Tu t'es fait couper les cheveux! Je lui dit où. Et il s'est exclamé: Beurk! T'es allée chez les pédés!

D'après lui tous les coiffeurs hommes étaient "des pédés". J'ai pourtant continué à fréquenter de façon assez régulière ce salon tenu par deux hommes. En effet, je n'y allais pas dans l'espoir de me faire sauter, mais pour me faire couper les tifs et je pouvais y aller sans rendez-vous et sans être obligée de babiller.

Et puis, si après tout ils aimaient les hommes, c'était leur droit, leur vie privée, et celle-là ne me concernait absolument pas.

Bien des années plus tard j'ai eu besoin d'une coupe pour être à peu près présentable à un enterrement. C'était à Helsinki. Je suis allée faire un tour dans le quartier où habitait ma mère, mais partout il fallait prendre rendez-vous, et je n'avais ni le temps, ni l'envie.

Ma mère m'a alors donné un tuyau. Elle allait de temps à autre chez un coiffeur immigré pour se faire couper les cheveux. Il n'était pas cher, me dit-elle, et pas pire qu'un autre.

C'est ce que j'ai fait. J'ai attendu qu'il termine le client qui était déjà là; ce n'était pas une longue attente.

Je lui ai dit que c'était ma mère qui m'envoyait. Il savait qui j'étais, que j'étais moi aussi un oiseau migrateur. Alors il m'a raconté sa vie, il m'a demandé comment c'était pour moi. On en a parlé. Il était sympathique, et il s'est aussi bien occupé de mes cheveux.

Il m'a montré des photos de son appartement et de la femme avec qui il vivait. Il se disait heureux avec elle, bien que leurs habitudes n'étaient pas toujours les mêmes, car elle venait d'un autre pays, une autre culture que lui.

Mon ami, perdu de vue depuis pas mal de temps déjà, aurait sans doute dit: Beurk! T'es allée chez un immigré! Et il aurait sans doute eu ses certitudes sur cette catégorie d'hommes aussi.

***

Que ce petit texte ne vous fasse pas croire que j'adore tous les hommes - et les femmes - qui s'embrassent de façon ostentatoire devant les caméras des média dans les manifestations de Gay Pride ou autre, car ce n'est pas le cas, tout comme je ne me sens pas obligée d'aimer tous les é- ou im-migrants pour la seule raison qu'ils le sont. Je réserve mon appréciation des uns et des autres aux individus et à leur comportement, pas à un groupe. J'estime donc que j'ai le droit d'apprécier quelqu'un - ou de ne pas le faire - sans qu'on me donne des noms d'oiseaux pour autant.

mardi 23 novembre 2010

Por la mañana

Me gusta andar en el puerto comercial temprano por la manana, y estoy especialmente feliz cuando veo un barco y la gente ocupado alrededor.

Es un ambiente muy especial que me ha seguido durante muchos años ya. Tambien en otros puertos.

Sin embargo, hoy hay menos actividad aqui, y cuando voy en el puerto no estoy segura de encontrar un barco cargando o descargando.

El otro dia por la mañana tenia suerte. No he visto un barco, sino dos.

lundi 22 novembre 2010

Temps gris à Etretat

Tout le monde connait Etretat et le fameux trou dans sa falaise. N'est-ce pas?

Nous sommes arrivés sur l'autre falaise, celle qui se trouve de l'autre coté de la ville avec le centre touristique en bas, entre les deux pans de calcaire, par une journée bien grise, aussi grise que la falaise.

La route que nous aurions voulu prendre pour aller à Etretat, celle qui se trouve le plus près possible du bord de mer, était fermée pour je ne sais quelle raison. Nous n'avons pas regardé de près la feuille blanche qui était attachée à la barrière qui nous en empêchait l'accès.

Nous avons donc pris la route normale. Normale pour les autres, pas pour nous, car nous préférons les petites routes, les petits chemins au milieu de nulle part pour nos promenades en voiture.

Un jour, il y a des années, nous avons fait comme les personnes tout en haut de la falaise en face. Nous y avons grimpé, nous avons pris la passerelle et nous avons regardé la mer, tout en bas. Mais nous n'avons pas sauté. C'est pourquoi nous sommes encore là et que je peux écrire n'importe quoi.

dimanche 21 novembre 2010

Les falaises de la Seine

En Seine-Maritime on ne trouve pas la falaise seulement en bord de mer, sur la Cote d'Albâtre, mais aussi le long de la Seine.


Ce que je trouve plutôt étonnant, c'est que tantôt elle se trouve rive gauche, tantôt rive droite, sans que je comprenne pourquoi elle a pris la peine d'enjamber le fleuve.

Sans doute a-t-elle voulu visiter les méandres de la Seine en prenant le chemin le plus court.

samedi 20 novembre 2010

Le Rond Point

Nous venions de quitter la rue Aristide Briand et allions nous engouffrer dans la rue du Maréchal Joffre dans le quartier du Rond-Point dès que nous aurions quitté le Cours de la République sous les cordes.

Je venais d'apercevoir des stickers de la CGT réclamant la démission du maire du Havre, Antoine Rufenacht, et me demandais pourquoi on s'acharnait encore contre lui, vue sa démission le 18 octobre dernier.

Nous avions, un peu plus tôt, laissé derrière nous un ancien quartier de négoce de café avec la rue Demidoff, et avions poursuivi notre route un peu en zigzag à cause des travaux pour le tramway et des bouchons que ceux-ci occasionnent.

Peu importe, nous n'étions pas pressés, nous avions tout notre temps pour visiter et regarder la vie autour de nous.

Nous n'étions ni comme Aristide Briand, le Maréchal Joffre ou Antoine Rufenacht, nous n'avions pas d'autre responsabilité que de bien nous tenir dans la circulation.

vendredi 19 novembre 2010

Maison normande

Quand j'arrive sur les quais de St Valéry en Caux mon regard va immanquablement vers cette grande maison quasiment à l'entrée du port, au quai d'aval.

Cette maison normande avec ses tourelles, ses balconnets et ses céramiques porte trois panneaux avec les noms Cap Trompette, L'Horizon et Face au Vent.

Y a-t-il peut-être trois maisons en une?

Dans ce cas, elle peuvent bavarder ensemble, jetant la parole d'un balcon à l'autre, d'une céramique bleu vert à une autre, vert bleu celle-là.

jeudi 18 novembre 2010

Une banalité

Voici une photo peu intéressante, une banalité. Une camionnette vient de quitter l'autoroute et se trouve sur la bretelle de sortie.

Puis intervient la deuxième photo, prise quelques secondes plus tard. La camionnette n'est plus à la même place. Elle a bougé. Elle a même reculé comme on peut voir en regardant attentivement.

Le feu de recul est allumé et maintenant l'ombre de la camionnette tombe sur le séparateur vert et blanc des voies, ce qui n'était pas le cas sur la première photo.

S'il vous plaît, ne faites pas cela, car il y a toujours moyen de faire demi-tour un peu plus loin. Par contre, si on crée un accident, il n'est pas possible de revenir en arrière.


mercredi 17 novembre 2010

A l'usine

Les murs de l'usine
se dressent droits comme la falaise.
Ici ça cartonne.

mardi 16 novembre 2010

L'arrivée du Swegard

Hier après-midi j'avais à faire en ville. Cela m'arrive de temps en temps.

Pour mon retour je suis passée par le Pont Gayant, et j'ai alors vu sur ma gauche trois feux rouges qui interdisaient à tout bateau la sortie du port.

Un navire en train d'arriver, me suis-je dit, et j'ai tourné à gauche, vers l'entrée du port.

Tout près j'ai vu le bateau pilote et au loin j'ai vu un caboteur rouge s'approcher. C'était le Swegard, chargé de bois jusqu'en pontée.

Je l'ai regardé entrer, j'ai fait une photo ou deux, avant de me faire interpeller par une vieille figure du port, et un ami à lui qui promenait son chien, Lulu.

On a discute un peu, sur ce que fût le port de Fécamp autrefois (premier port français pour l'importation de bois du nord), sur ce qu'il est devenu.

Ils n'étaient guère optimistes. Les rumeurs vont bon train et le futur port à sec ne les enthousiasme pas. Mais sont-ils dans les secrets des dieux?

Moi, je ne le suis pas.

lundi 15 novembre 2010

Vendu

Cette maison avec vue sur le port m'a toujours parlé.

Elle fait partie de celles que j'ai souvent vues à vendre et vient de nouveau de changer de propriétaire, comme l'indique le panneau accroché au balcon.

Je ne l'ai jamais visitée, malgré la tour ronde qui titille mon imagination.

Et pourtant, je n'ai jamais vu qui que ce soit en haut de la tour, ni un marin en train de scruter l'horizon à la jumelle, ni une princesse enfermée et pleurant son sort.

Je n'ai même jamais vu Phalacrocorax s'y poser!

dimanche 14 novembre 2010

Water everywhere

There's a storm going on. Winds may be less hard than some days ago, but there's water everywhere, falling down from a dark sky and flying up from an angry sea.

Where there are ditches, these are full of water, some of it pouring over the fields and the roads.

If this wheather will last, the landscape will be like back in the early 1990's when roads were partly under water for a long time.

A lot of work has been done since that time to avoid floodings, but Saturday I saw water at the usual old places again.

In Fecamp a man drowned one night. That's at least what I've been told. I suppose it was in the sea, as he was said to have wanted to go for a nightly swim.

I deplore the poor quality of the second photo. It was already rather dark, and we didn't stop to take the picture, but you can see that there's a lot of water on the road.

samedi 13 novembre 2010

Söder om Djupr

Någon påstod att min blog inte längre är polyglott eller flerspråking, och det kan verkligen stämma. Det är så lätt att bara skriva på franska hela tiden och glömma de andra språken.

Här kommer då, på svenska, en bild från vår vackra kust, söder om Dieppe, en stad som sägs ha fått sitt namn av floden som klyver staden i två, nämligen den östra och den västra stadsdelen. Vikingarna kallade floden Djupr (för djup). Dieppe - djup uttalas ganska lika, som engelskans deep som också kan ha inverkat på namnet.

Floden var djup nog för vikingar som landsteg där Dieppe skulle växa under åren.

Numera går det en färja mellan Dieppe och Newhaven, men jag tror att de engelska turisterna minskat i antal på grund av förändringar i valutakurserna.

I övrigt också har hamnen förlorat mycket trafik, exempelvis bananimporten och - så vitt jag vet - lökexporten till Afrika som gav en hel del jobb för ortsborna. Löken kom från norra Frankrike, och producenten hade, eller skulle öppna kontor, om jag minns rätt, också i Abidjan.

Då det blev större problem i Elfenbenskusten hade emellertid producenten kvar endast sina ögon att gråta över löken. Ses yeux pour pleurer, säger man på franska.

Jag har förlorat kontakten till lökmannen men hoppas att han klarat sig och skaffat sig nya kunder.

På fotot är det inte Djupr man ser utan en liten by 13 km mot västsydväst längs kusten, Ste Marguerite-sur-Mer

vendredi 12 novembre 2010

Des douceurs

La sucrerie de Fontaine le Dun est l'une des dernières encore en activité dans les deux Normandie (Haute et Basse), comme ailleurs en France, et sans doute en Europe.

Je ne l'ai jamais visitée, comme j'avais visité, il y a très longtemps celle d'Epénancourt dans la Somme, et celle de Colleville à proximité de Fécamp.

De la sucrerie d'Epénencourt je me rappelle la chaîne de fermeture des sacs et un chat crevé dans un caniveau entre la sucrerie et le restaurant où j'ai mangé ce jour-là.

Je me souviens aussi de l'odeur très particulière que l'on sent à proximité des sucreries en activité. Une odeur un peu écœurante, dont certains ont sans doute dit à l'époque où on pouvait encore le faire, que cela sentait l'argent.

Hier, jour férié, les seuls camions que j'ai vus lors d'une petite promenade qui m'a a conduite à travers la campagne étaient ceux qui transportent la matière première, à savoir les betteraves sucrières, et qui font des journées à rallonge pendant la campagne betteravière.

Plus ma promenade m'approchait de Fontaine le Dun, plus j'en voyais.

Hier ils ont travaillé sous la pluie et accompagnés du vent.


jeudi 11 novembre 2010

Le calme de la nature

Je ne sais pas comment je l'ai fait, mais je l'ai fait.

Je suis tombée. Et je suis bien tombée sur un blog qui s'appelle Luonnon rauhaa.*)

J'y ai trouvé des photos fabuleuses, comme les étoiles filantes, la couverture de mousse et plein d'autres.

Faites un saut chez Seppo Salminen; vous ne le regretterez pas!

***

*) Le calme de la nature

mercredi 10 novembre 2010

Chic...

... et choc

Quand la vieille taupe a vu "La Parisienne" au-dessus de la vitrine elle a dit stop. La parisienne est une femme chic, un mélange de Coco Chanel et d'Audrey Hepburn!

Et puis elle s'est dit, non, la parisienne c'est aussi son ancienne voisine aux cheveux noirs de charbon et les doigts aussi, car cette vieille femme seule, toujours bien habillée, chauffait encore son appartement au charbon qu'elle montait de la cave.

La parisienne c'est celle qui encore aujourd'hui se débrouille avec les moyens du bord qu'elle a souvent restreints car la vie est chère à Paris - et ailleurs - quand on n'a pas le sou.

La vieille taupe n'a qu'à se rhabiller d'un vieux t-shirt et d'un pantalon difforme au lieu d'écouter ses idées fixes sur la parisienne en particulier et la vie en général.

Cela lui ferait le plus grand bien avant d'aller se trouver quelque chose de plus seyant à "La Parisienne".

mardi 9 novembre 2010

Chaud, très chaud

Peut-être même un peu trop chaud!

lundi 8 novembre 2010

Tu viens en boîte?

Je n'inclurai pas les boîtes dans ma série sur les maisons bavardes, et pourtant je ne peux pas m'empêcher de montrer ces containers (ou conteneurs) transformés en logements pour étudiants.

Au Havre, comme ailleurs, les étudiants ont du mal à se loger, et la municipalité de la ville portuaire a eu l'idée de transformer des boîtes - des boîtes oui, mais pas des boîtes d'occasion - en appartements.

J'espère qu'ils ont pensé à l'insonorisation car il me semble que les étudiants peuvent être très bruyants - à moins qu'ils soient devenus plus sérieux que ceux "de mon temps" qui allaient en boîte plus pour s'amuser que pour étudier.

vendredi 5 novembre 2010

Appel à témoin

Cette voiture, une AX bleue a, parait-il été impliquée dans un accident à St Etienne du Rouvray mardi dernier, avant de s'enfuir, ce qui peut être qualifié de délit de fuite.

Si vous la reconnaissez, faites moi signe, et je ferai part à qui de droit. De même, si vous étiez témoin de l'accident. (Un problème de priorité, m'a-t-on dit.)

***

Le véhicule accidenté, la partie adverse, comme on dit, n'était pas conduit par son propriétaire.

Celui-ci a voulu déposer plainte auprès du Commissariat de Police, où on lui a répondu qu'il n'a pas le droit de le faire, étant donné qu'il n'était pas au volant. Il est pourtant concerné en premier lieu, il me semble, car c'est lui qui doit payer la casse. En outre, il a besoin de la plainte pour pouvoir déposer un dossier auprès de son assureur.

Mais le Commissariat refuse d'enregistrer quoi que ce soit, et pendant ce temps ne fait rien pour retrouver le responsable, peut-être un conducteur sans permis, sans assurance ou roulant avec une voiture volée, qui sait! Avec la plaque d'immatriculation que l'on voit sur la photo, bien qu'elle ne soit pas très nette, on pourrait sans doute avoir une idée du propriétaire.

La personne qui était au volant du véhicule accidenté est ensuite allée tenter sa chance au Commissariat qui a refusé d'enregistrer sa plainte au motif qu'elle n'avait pas un devis chiffré des réparations.

Ce n'est pourtant pas à elle, mais au propriétaire du véhicule de s'occuper de la réparation, non? Et qu'est-ce que le devis a à faire avec le délit de fuite? Ce sont bien deux choses différentes!

Pendant ce temps, le chauffard court, il a le temps de faire réparer les dégâts de sa voiture - celle de la photo - ou de l'abandonner quelque part, la brûler, que sais-je.

Qu'est-ce que tout ceci nous apprend? Qu'il ne faut jamais signer un constat à l'amiable si on est responsable, qu'il faut partir en courant et en faisant signe avec le majeur à celui dont on a abîmé la voiture. On est couvert. Personne, surtout pas la police, fera quoi que ce soit pour vous retrouver! Ce n'est pas normale, c'est-ce que j'en dis.

La loi est vraiment bien faite pour les voyous, mais personne ne se soucie des victimes. Encore une fois.

J'appellerais tout ceci obstruction à la justice!

jeudi 4 novembre 2010

15/12

Kuka ihmeessä oli jättänyt autonsa juuri oven eteen?

Nyt tuskin näkee ovatko kottikärryt vielä paikalla tai ei! Että pitikin sattua näin huonosti!

Myönnettäköön että eilinen päivä oli kiireinen. Lähdin liikkeelle joskus viiden - kuuden maissa aamulla, palasin yhdeksän tienoilla ja lähdin sitten uudestaan. Lyhyemmäksi ajaksi.

Itse asiassa minua ei hämmästytä ollenkaan tuo auto väärässä paikassa, mutta asia korjattiin pian kuvauksen jälkeen, sillä minun piti vielä lähteä kaupungille. Jääkaappi oli tyhjä.

Muuten voimme huomata että vihreyttä riittää vielä jonkun verran, ettei kukaan ole pahemmin koskenut kukkapenkkiin sitten viime kerran, mutta tarkasti katsoen voi sentään havaita että risukasa on kadonnut taaemman koivun juurelta.

Jotain olemme sentään tehneet!

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The fifteenth of the series "One picture a month" or "12 photos". Please notice that the wheelbarrow is still there. You can see it behind my car, at least if you have some imagination.

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Je suis pas mal occupée avec mon travail en ce moment et je n'ai pas beaucoup de temps pour les visites. Je fais de mon mieux, et j'espère faire mieux plus tard, quand j'aurai plus de temps. (Je suis optimiste...) En attendant, voici la quinzième photo de la série "Un mois, une photo", ou, "12 photos".

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No tengo mucho tiempo... para parquar el coche!

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Och sedan på svenska. Detta är det femtonde fotot från serien "Ett år, tolv bilder". Hur det blev femton är kanske inte riktigt normalt, men så är det bara.

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Und so weiter.

mercredi 3 novembre 2010

Magnifique

N'est-elle pas belle, cette grande maison sans doute beaucoup plus récente que la notre, et édifiée dans un style du coin avec ses colombages, ses briques et son silex!

Non seulement est-elle belle, en plus elle est située dans un vaste parc avec un cours d'eau juste à coté.

Quand je l'ai vue la première fois, il y a des années, je n'avais qu'une chose à dire : qu'il manquait des fleurs autour.

Depuis la végétation s'est étoffée, et je trouve le lieu presque parfait. (La maison n'a pas vue sur la mer...)

Je me demande si l'intérieur me parlerait autant.

mardi 2 novembre 2010

Le relais de l'amitié


J'ai été taguée par Sciarada d'Anima Mundi qui souhaitait que je participe au Relais de l'Amitié.

Pour commencer il faut ajouter le logo du relais sur le post que l'on fait comme réponse au tag.

Ensuite il faut répondre aux huit questions suivantes:

Voici donc les réponses et les questions:

1. Quand vous étiez petit(e) que répondiez vous à la question : Et toi, que veux-tu faire quand tu seras plus grand(e)?

Je ne me rappelle pas très bien avoir vraiment voulu faire quelque chose de particulier comme travail. Par contre, il est certain que je ne voulais pas devenir vétérinaire, infirmière ou enseignante.

2. Quels ont été vos bandes dessinés/dessins animés préférés?

Pour commencer tous les Tex Avery comme Bugs Bunny et Daffy Duck, les Walt Disney comme Mickey Mouse et plus tard Astérix de Goscinny et Uderzo ainsi que Lucky Luck de Morris, sans oublier les Moumines de Tove Jansson que je préférais toutefois en livres normaux.

3. Quels ont été vos jeux préférés?

Je jouais aux Dames avec mon voisin Pa quand j'étais petite, plus tard aux strip poker avec quelques copains (mais pas longtemps, car c'était l'hiver et j'ai eu froid...)

4. Quel a été votre meilleur anniversaire et pourquoi?

Ce sera le prochain. En tout cas je l'espère.

5. Qu'est-ce que vous auriez absolument voulu faire que vous n'avez pas encore fait?

Apprendre à me relaxer, me détendre.

6. Quel était votre premier sport préféré?

J'adorais faire du vélo et battre les garçons à la course à l'époque où j'étais trop petite pour arriver à m'asseoir sur la selle de mon beau vélo bleu d'occasion. C'était toujours moi la plus rapide.

7. Quel était votre premier idole de musique?

J'avais un petit chien en caoutchouc qui s'appelait Tino Rossi que j'aimais beaucoup jusqu'au jour où il est devenu vieux et tout flasque (le chien, je précise) , mais j'avoue ne me rappeler aucune chanson de ce chanteur.

8. Quel est le plus beau cadeau de Noël (ou l'équivalent) que vous avez reçu?

C'est sans aucun doute la brouette qu'on voit sur un certain nombre de mes photos.


Pour terminer il faut taguer dix autres blogueurs que voici en ordre alphabétique :


Bon courage à tous et rappelez-vous que l'amitié n'est pas obligatoire. L'amitié est ou n'est pas.